Dans ce webinaire, vous en apprendrez davantage sur les questions de recrutement des ouvrier.e.s migrant.e.s en Malaisie, ainsi que sur les risques de servitude pour dettes et de travail forcé, et pourquoi cela concerne les acheteurs publics. Les présentateurs discuteront des résultats de la récente recherche d'Electronics Watch dans le secteur de l'électronique en Malaisie, du guide d'Electronics Watch pour la remédiation et la prévention dans les achats publics des frais et des coûts associés au recrutement d'ouvrier.e.s migrant.e.s. Le contexte juridique et historique du recrutement des ouvrier.e.s migrant.e.s en Malaisie sera également abordé. Conférenciers invités : Joseph Paul, directeur, Tenaganita, Malaisie, et Andy Hall, spécialiste des droits des travailleurs migrants, Royaume-Uni.

Dans ce webinaire, vous prendrez connaissance de la santé et de la sécurité organisationnelles (OHS) dans l'industrie électronique, des dangers auxquels sont exposés les ouvrier.e.s, y compris l'utilisation de substances chimiques toxiques, et de la façon dont il convient de s'attaquer aux causes profondes de ces problèmes. Vous entendrez un affilié expliquer comment il utilise la commande publique pour protéger la santé et la sécurité des ouvrier.e.s, et évoquer le rôle important du monitoring piloté par les ouvrier.e.s dans ce processus. Les intervenants invités sont : Sanjiv Pandita - Asian Network for the Rights of Occupational and Environmental Victims (ANROEV) - Hong Kong, et Pauline Göthberg – Conseil du comté de Stockholm, Suède.

Dans ce webinaire, vous en saurez davantage sur les conditions de travail spécifiques qui augmentent les risques de suicide d'ouvrier.e.s dans les usines d'électronique chinoises et ce que l'industrie, le gouvernement chinois et les acheteurs publics peuvent et devraient faire pour réduire ce risque. Le webinaire est basé sur le rapport de Economic Rights Institute et d' Electronics Watch: «Le chaînon entre les conditions de travail et le suicide»*, qui cherche à identifier précisément le lien entre les suicides d'employés et les conditions de travail spécifiques comme les revenus, le travail par poste, la vitesse et l'intensité du travail, les heures supplémentaires, le temps libre, le respect, la discipline et la violence. Les participants du webinaire sont guidés lors de l'examen des arguments, des conclusions et des recommandations de l'étude et posent leurs questions directement au conférencier invité et auteur du rapport, Dimitri Kessler, del Economic Rights Institute, en Chine.

*«Le chaînon entre las conditions de travail et le suicide» est une étude approfondie et scientifique à partir de  sources sur Internet sur 167 cas d'ouvrier.e.s de l'électronique commettant ou ayant essayé de commettre un suicide, y compris 28 cas de «suicides de protestation» (où, sauf une exception, les ouvrier.e.s ne sont pas morts), des enquêtes sur site faites par les ouvrier.e.s chez 44 fournisseurs d'électronique et des entretiens hors site avec 252 ouvrier.e.s chez 4 fournisseurs où eurent lieu de multiples cas de suicide. Elle examine aussi la censure et le problème des dédommagements  post-suicide et propose des suggestions concrètes au gouvernement, aux entreprises et aux acheteurs publics.

Dans ce webinaire, vous en saurez davantage sur les violations des droits humains dans le secteur minier de la chaîne d'approvisionnement électronique qui affectent les ouvrier.e.s, leurs familles et leurs communautés. Le séminaire est axé sur les métaux les plus importants pour l'industrie électronique et présente les initiatives qui abordent les problèmes des droits humains dans le secteur minier. Les intervenants discutent des problèmes des droits humains dans le cadre d'un programme sur les achats publics socialement responsables et mettent en lumière les expériences de l'Université d'Edinburgh, la première institution de l'enseignement supérieur du Royaume-Uni à adopter une politique formelle relative aux minéraux en tant que sources de conflits. Les conférenciers invités : Irene Schipper : Centre de recherche sur les multinationales (SOMO), Pays-Bas et Liz Cooper, Service pour la responsabilité sociale et la durabilité, Université d'Edinburgh.